Quand c’est fait, c’est fait : comment Rogers aide à respecter les délais et les budgets des projets de construction
Rogers dispose d’une équipe qui tire parti de l’expérience du secteur de la construction pour assurer le succès des constructeurs, des promoteurs, et des occupantes et occupants.
Les retards de construction sont si fréquents qu’ils peuvent sembler faire partie de la vie. Mais ils causent de réels problèmes aux constructeurs qui sont obligés de modifier leurs programmes, aux promoteurs qui doivent faire face à des investisseurs impatients, et aux personnes qui espéraient déménager leur ménage ou leur entreprise, et qui peuvent être confrontés à des coûts inattendus lorsque cela n’est pas possible.
« Dans le domaine de la construction, chaque gestionnaire de projet ne se soucie que de deux choses : l’échéancier et le budget », explique Stephen Foster, chef principal, Services financiers et construction chez Rogers service Affaires. Historiquement, l’infrastructure des services de télécommunications était une sorte de réflexion après coup. « Les constructeurs avaient l’habitude de terminer un bâtiment, puis ils attendaient l’arrivée d’Internet. Les télécommunications n’ont jamais fait partie de ce processus de construction; elles arrivaient à la fin, nécessitant des tailles de conduits différentes, le démantèlement des tuiles de plafond ou des trous dans un tout nouvel aménagement paysager. Le constructeur posait tout le pavé uni à l’avant, et le fournisseur de télécommunications arrivait et disait : « Non, il faut l’enlever parce que nous devons amener notre fibre à l’installation. »
Un entrepreneur général pour les télécommunications et les technologies de l’information
M. Foster a une expérience dans le domaine de la construction, et lorsqu’il est arrivé chez Rogers, il a voulu faire les choses différemment. « Pensez au modèle de l’entrepreneur général », dit-il. « Ce modèle existe depuis 50 ou 60 ans pour la construction de tout, des aéroports aux hôpitaux en passant par les immeubles de grande hauteur. C’est l’entreprise qui gère les sous-traitants, qu’il s’agisse de l’installateur de fenêtres, de cloisons sèches ou du circuit électrique. » M. Foster voit Rogers comme l’entrepreneur général pour les volets télécommunications et technologies de l’information du bâtiment.
Cela signifie que Rogers fait partie de l’équipe dès le début du projet. Dans le cas d’un système de télécommunications moderne, il ne faut pas seulement tenir compte des conduits et des voies d’accès pour la fibre, mais aussi des antennes WiFi ou des répéteurs et des amplificateurs pour les signaux sans-fil. De plus, les promoteurs doivent à la fois prendre en compte les besoins d’aujourd’hui et préparer les bâtiments de demain.
Les solutions de construction de Rogers Affaires, et une bonne planification de l’infrastructure de télécommunications dès le départ permet de s’assurer que les projets respectent l’échéancier (et donc le budget).
Il est essentiel de s’harmoniser à la séquence de construction
Pour s’assurer que nous faisons partie du processus de planification, les architectes en information, communication et technologie de l’automation de Rogers s’attachent à travailler en étroite collaboration avec les équipes de construction. « Dans le cas d’une nouvelle construction, il est essentiel de s’harmoniser aux équipes sur la séquence des travaux », explique M. Foster. « Nous avons modifié notre approche de ces projets pour travailler avec les entrepreneurs généraux, les constructeurs, les architectes et les ingénieurs. Nous avons fait en sorte que notre travail se déroule dans la bonne séquence de la construction. Cela signifie que lorsque le bâtiment est terminé, il est essentiellement terminé à tous les niveaux. »
« Nous avons fait en sorte que notre travail se déroule dans la bonne séquence de la construction. Cela signifie que lorsque le bâtiment est terminé, il est essentiellement terminé à tous les niveaux. »
– Stephen Foster, chef principal, Services financiers et construction, Rogers service Affaires
Cette façon de faire permet également à Rogers de fournir une connectivité sur place pendant le processus de construction. Selon M. Foster, « il n’y a pas si longtemps, les corps de métier n’avaient pas accès à l’Internet ou au WiFi sur les chantiers. » Aujourd’hui, Rogers fait l’effort de s’impliquer dans la phase de préconstruction. « Pendant la pose des planchers, explique M. Foster, nous essayons de mettre en service une couverture WiFi ou cellulaire hors antenne afin d’offrir au personnel d’installation la technologie nécessaire pour voir les plans. Cela peut changer la donne pour les chantiers qui n’ont pas de fenêtres ou pas de bureau sur place. »
Avec cette approche, Rogers ne fait que suivre le rythme de l’utilisation d’Internet. Il est nécessaire pour le travail et pour la maison, il doit donc être présent lors des travaux de construction, et les personnes s’attendent à ce qu’il soit prêt lorsqu’elles emménagent dans un nouveau bâtiment. « Nous avons réussi à fournir les services de Rogers de sorte que lorsque le chauffage est en marche, l’eau et l’électricité fonctionnent, tout comme l’Internet, le service sans-fil 5G et le système d’antennes distribuées (DAS) », déclare M. Foster. « Les technologies de l’information représentent en fait le quatrième service public. »
Encore plus de possibilités pour les occupantes et occupants
Le fait que l’Internet soit prêt au même moment que le bâtiment permet également ce que M. Foster appelle les systèmes verticaux. « Lorsque nous rendons le réseau disponible dès le premier jour, qu’il soit câblé ou sans fil, et alimenté par Rogers, nous pouvons prendre les données de divers systèmes verticaux – qu’il s’agisse de vidéosurveillance, d’accès par carte, de compteurs pour les services publics, d’ascenseurs, de WiFi, de systèmes téléphoniques – et aider à les intégrer ensemble pour offrir de la valeur à notre clientèle. »
Par exemple, dans un environnement de travail hybride où une personne ne travaille que certains jours de la semaine, lorsqu’elle arrive et balaye sa carte de sécurité au stationnement, les autres systèmes qui la concernent peuvent être engagés. Un ascenseur pour la conduire à son étage, des lumières qui s’allument à l’endroit où se trouve son bureau ainsi qu’aux toilettes et à la station de café les plus proches. Il n’est pas nécessaire d’activer tous les ascenseurs ou d’éclairer un étage entier. « C’est ainsi que nous contribuons à réduire les coûts du modèle et à mettre en place ces cas d’utilisation pour tenir compte des nouvelles méthodes de travail à venir », explique M. Foster. « La technologie est là et, dans de nombreux cas, depuis des années, mais le facteur de différenciation consiste à rassembler les données de ces systèmes sur un réseau cohérent pour nous permettre de faciliter la vie des utilisatrices et utilisateurs finaux en le rendant plus efficace, et d’offrir une expérience vraiment agréable dans le nouveau bâtiment. »
Travaillez avec Rogers sur votre prochain projet de construction
« En fin de compte, c’est une question de temps et d’argent », affirme M. Foster. En s’appuyant sur l’expérience de son équipe, Rogers s’assure de comprendre et de respecter la séquence de construction afin de prévenir les retards et d’éliminer les coûts supplémentaires. Ce que cela signifie, selon Foster, c’est que « lorsque le bâtiment est terminé, il est terminé » et les occupantes et occupants peuvent profiter de tous les avantages qui en découlent.
Cette publication fait partie d’une série sur la transformation des industries grâce aux technologies intelligentes. Consultez les publications connexes ici.